Depuis les déclarations en février 2012 du PDG de Sainsbury's, Justin King, appelant le petit commerce à simplement accepter son destin et se résigner à disparaître, la « mort du commerce de proximité » est à nouveau un sujet brûlant dans les médias.
Le e-commerce a été considéré comme l'un des responsables des déboires des commerces « bricks and mortar ». Mais c'est un jugement biaisé, qui suggère une cannibalisation des canaux commerciaux entre eux, alors que la véritable tendance est, au contraire, celle d'une complémentarité dont le potentiel est quasiment illimité.
Lorsque j'ai entrepris de faire ma Maîtrise scientifique en commerce électronique à HEC Montréal il y a plus de dix ans, le Canada était dans le peloton de tête du numérique. Les affaires électroniques étaient sur toute les lèvres des fonctionnaires fédéraux et provinciaux. Les programmes gouvernementaux étaient nombreux. Nos télécoms se targuaient d'être dans les plus efficaces du monde. Nos équipementiers Nortel et Mitel dominaient la téléphonie mondiale ( la suite d'équipement Norstar de Nortel était la suite téléphonique la plus vendue de la planète à l'époque). Puis, le numérique devint une mode passée. Le nouveau « mot-clé » des fonctionnaires était maintenant « l'innovation ». Il faut savoir que les subventions, programmes et stratégies de développement économique fonctionnent aux mots-clés. Ce fut le début d'une disette numérique qui dure encore.
Le taux de croissance du commerce en ligne devrait diminuer dans les années à venir. Un processus normal de maturation du marché, mais qui demandera des efforts de fidélisation.
Plus de 100 000 sites recensés en France et un volume de 37,7 milliards d'euros d'articles vendus en ligne : le e-commerce ne semble pas touché par la crise. Pourtant ce n'est pas l'avis de l'institut d'études économiques Xerfi, qui vient de publier un rapport sur le taux de croissance dans le secteur pour les années à venir. Il annonce en effet un ralentissement progressif de la croissance et même une stabilisation à partir de 2016.
A sputtering economy isn't slowing the growth of e-commerce. In fact, new data from comScore shows $44 billion in business now moving through U.S. e-commerce channels, up 17 percent from a year ago. More, the last three quarters show accelerating year-over-year growth.
As e-commerce has emerged and expanded, a string of misconceptions has arisen. Throughout my career as both a CTO and advisor to e-commerce companies, following are the most common myths I've encountered:
"China's answer to America's Cyber Monday shopping bonanza takes place on November 11th, and e-commerce giant Alibaba just saw a whopping $3.1 billion (RMB 19.1 billion) in sales on the day, up 367 percent from last year."
"Les nouveaux comportements des voyageurs et leurs modèles de consommation révolutionnent le marché du tourisme. Les smartphones, les tablettes, l'essor du commerce électronique et les réseaux sociaux ont favorisé cette révolution. Les touristes sont de plus en plus connectés et s'attendent à plus de services en voyageant, créant des opportunités business pour les acteurs de tourisme tout en se rapprochant de leurs clients et accroître leur expérience client." (résumé du site)
Inscription obligatoire
The government posted its Reports on Plans and Priorities for dozens of departments and agencies yesterday. The Industry Canada report makes for interesting reading as there is a section on the still missing Digital Economy Strategy that includes targets for e-commerce buying and selling in Canada. The department states:
Industry Canada will continue to implement measures in support of the Digital Economy Strategy to accelerate adoption of digital technologies, promote trust and confidence in the online marketplace and foster a globally competitive ICT sector based on a modern legislative framework, a robust digital infrastructure and a digitally skilled workforce.
Leaving aside the fact that there is no digital economy strategy - or at least the government has still not released the long overdue document - the report also includes a target to determine whether the Canadian online economy is "governed by an effective policy and regulatory framework." The government's performance indicator is the percentage of Canadians buying and selling online, with the targets set at 43% of Canadians buying and 15% selling.
"La France aura bientôt accès à un service de VOD proposé par Amazon. Le patron géant américain du commerce électronique a confirmé ce projet, sans préciser la date à laquelle la plate-forme sera disponible. Amazon propose déjà des services de VOD au Royaume-Uni et en Allemagne via Lovefilm, un site spécialisé dans la VOD racheté début 2011."
Ils ont inventé autant des motos électriques et des nouveaux vêtements d'équitation que des sites internet destinés à l'immobilier et des solutions de commerce électronique. Et ils ont convaincu les financiers de leur signer des chèques en nombre record pour développer leurs idées.
"n the long run, Felten hopes to see more technologists have a formal role in the policy process. « We've had some degree of success in intervening when something big is up, but that's not a sustainable model, » he said. He'd like to see technologists become « a community that is known and engaged consistently over time. »
« I've thought about how other disciplines have managed to integrate themselves into the process, » he said. « Economists are a good example. They've been very effective in convincing policymakers that their expertise is important. »
It would obviously be foolish for senior government officials to make economic policy without seeking input from trained economists. Perhaps someday, it will be seen as equally foolish to make technology policy without a computer scientist in the room"
Petit rappel donc pour les ignorants : le « drive » est un grand cube de tôle. Mais commençons par le début, sur Internet. Un client, ou une cliente, passe commande sur la Toile pour faire ses courses habituelles -yaourts, salade, pâtes, couches, eau minérale -au même prix qu'à l'hypermarché. Il règle par carte. Et plutôt que de rester coincé chez lui à attendre la livraison, il récupère sa commande en voiture au moment qu'il choisit. Il arrive ainsi au « drive » lui-même : le fameux cube de tôle, posé de préférence à proximité d'un rond-point situé sur la rocade d'une ville. Il donne les références de sa commande, ouvre son coffre, un employé y dépose sa commande. Et la corvée des courses est finie.
Ten years hence retail footprint will be a shadow of its former self and heavy competition from online will allow only the strongest brick and mortar businesses to survive.
La question des métadonnées est assez récente, finalement. Et pourtant, omniprésente. Dans l'idée, des métadonnées fausses, ce serait la quatrième de couverture d'un livre, qui n'aurait rien à voir avec le livre que vous avez en main. Assez gênant, effectivement. Mais dans le domaine numérique, ces dernières sont essentielles.